Signe d'Argyll-Robertson: fonction, tâche et maladies

Le signe d'Argyll-Robertson est une rigidité pupillaire réflexe avec un logement proche intact des yeux. Dans ce cas, une lésion du mésencéphale abolit la réactivité à la lumière d'un ou des deux yeux. Ce phénomène joue un rôle dans les troubles tels que les neurolues.

Qu'est-ce que le signe Argyll-Robertson?

Le signe d'Argyll-Robertson est une indication d'un dysfonctionnement cérébral dans le mésencéphale, qui se manifeste par une rigidité pupillaire réflexe. Le mésencéphale est le tronc cérébral partie entre le pont (pons) et le diencéphale. Cette zone de la cerveau contrôle principalement les muscles oculaires. Le mésencéphale appartient au système dit extrapyramidal, qui ne peut pas toujours être clairement séparé du système pyramidal de contrôle des mouvements. Le système extrapyramidal est un concept neurophysiologique pour tous les processus de contrôle du mouvement en dehors des voies pyramidales dans le moelle épinière. Excitations du mésencéphale sensible nerfs sont transmis du diencéphale au cerveau (télencéphale), où ils sont commutés en moteur nerfs. Le mésencéphale est divisé en trois couches. Entre le toit du mésencéphale (tectum mesencephali) et le tegmentum se trouve le canal du liquide céphalo-rachidien, qui est rempli de liquide céphalo-rachidien. Le signe d'Argyll-Robertson est une indication d'un dysfonctionnement cérébral dans le mésencéphale, qui se manifeste par une rigidité pupillaire réflexe. Le phénomène pathologique a été nommé d'après l'écossais ophtalmologiste D. Argyll Robertson, qui l'a décrit pour la première fois au XIXe siècle.

Fonction et tâche

Les yeux sont capables de s'adapter aux conditions de lumière dans le champ visuel. Cette adaptation est également appelée adaptation. Les mouvements les plus significatifs dans ce contexte sont la lumière pupillaire réflexesL’ iris limite le élève. La lumière pupillaire réflexes résultat basé sur un changement de ton iris des muscles lisses. Ce changement de iris le ton modifie le élève largeur, ajustant ainsi les pupilles à la quantité relative de lumière incidente. Ces processus sont comparables à la régulation de la largeur d'ouverture sur une caméra. Les muscles de l'iris impliqués sont le muscle dilatateur des pupilles et le muscle sphinctérien des pupilles. Les pupilles du dilatateur musculeux sont également appelées élève dilatateur. Il est attaché à la système nerveux par les fibres nerveuses sympathiques provenant du centrum ciliospinale et donc de la moelle épinière segments C8 à Th3. Si les pupilles sont dilatées de manière anormale par ce muscle ou indépendamment des stimuli lumineux, on parle de mydriase. Le muscle sphincter pupilles est également appelé pupille constricteur. Il n'est pas innervé par les fibres nerveuses sympathiques mais parasympathiques du troisième nerf crânien (nerf oculomoteur). Les fibres proviennent du noyau Edinger-Westphal et passent par le ciliaire ganglion. L'activation de ces régions se produit lors d'une incidence lumineuse particulièrement forte et contracte les pupilles. La constriction pathologique est appelée myosis. L'incidence de la lumière est régulée par réflexe au niveau de la pupille par ces muscles et nerfs. Ainsi, un stimulus externe provoque une contraction musculaire, adaptant l'œil à un changement brusque de luminosité. La chaîne réflexe est soumise à un circuit parfaitement coordonné. Les afférents de la centrale système nerveux sont aussi appelés afférences. Ils sont le premier point de l'œil réflexes. L'incidence accrue de la lumière est enregistrée par les cellules sensorielles sensibles à la lumière de la rétine. Ces photorécepteurs conduisent les informations via le sensible nerf optique et le tractus optique dans l'épithalamus, où il atteint les noyaux prétectales. Des efférents émanent de ces noyaux, qui conduisent les informations hors du centre système nerveux. De cette manière, les informations sur la luminosité sont conduites via des voies efférentes dans les noyaux d'Edinger-Westphal. Dans les noyaux, les informations sont transférées vers la partie parasympathique du nerf oculomoteur. Ils voyagent à travers le ciliaire ganglion et ainsi stimuler la contraction du muscle pupillaire du sphincter. La pupille est contractée en conséquence. Il existe une connexion entre chaque œil et les deux noyaux prétectaux. Par conséquent, un réflexe pupillaire est toujours effectué bilatéralement, même lorsqu'un seul côté est éclairé.

Maladies et troubles

Le signe Argyll-Robertson joue un rôle particulièrement pour le neurologue. C'est la perte de la réponse pupillaire directe et indirecte à la lumière décrite ci-dessus. Le médecin vérifie l'adaptation pupillaire réflexe à l'aide d'une lumière dans le cadre de l'examen neurologique.Le signe d'Argyll-Robertson est un trouble bilatéral qui se manifeste après irradiation lumineuse dans des pupilles arrondies et rétrécies latéralement qui ne réagissent plus ou réagissent mal. La réponse de convergence de l'œil étant intacte, les pupilles se contractent néanmoins lors de l'accommodation proche. Ainsi, si seuls les réflexes pupillaires légers sont abolis, mais pas les processus d'accommodation proche, le signe d'Argyll-Robertson est présent. La réponse de convergence de l'œil est préservée, ce qui signifie que l'œil est toujours capable de s'adapter lors de la fixation des objets. Cette réponse de convergence est médiée par le nerf oculomoteur. Cela exclut crânien dégâts nerveux comme la cause du phénomène Argyll-Robertson, et la suspicion du médecin porte sur les lésions du mésencéphale. Vraisemblablement, la connexion entre le noyau Edinger-Westphal et le noyau praetectalis olivaris est affectée par des dommages. Souvent, les connexions causales sont des lésions d'un neuroleu. Il s'agit d'une forme progressive de syphilisL’ maladie infectieuse se propage au système nerveux central et peut provoquer une paralysie des nerfs crâniens et une dégénérescence de la colonne vertébrale. Le signe d'Argyll-Robertson est généralement associé à un stade tardif des troubles neurologiques et est évalué comme l'un des indicateurs les plus importants de cette maladie. Cependant, les lésions du mésencéphale et le phénomène de rigidité pupillaire ne doivent pas nécessairement être associés à syphilis. La sclérose en plaques et d'autres maladies neurologiques, par exemple, peuvent également provoquer des lésions du mésencéphale. Le tableau clinique ultérieur peut être extrêmement diversifié en fonction de l'ensemble cerveau région.