Douleur chronique: perception de la douleur

Dans le contexte de douleur Mémoire, la recherche des scientifiques de Mannheim dirigée par PD Dr Dieter Kleinböhl et Prof. Dr Rupert Hölzl est significative: dans une expérience, le douleur la sensibilité des participants à l'étude en bonne santé pourrait être considérablement augmentée sans qu'ils en soient conscients. A l'inverse, la sensibilité pourrait être abaissée de la même manière, en fonction des conséquences qui ont suivi les réactions perceptives.

L'expérience

Pour leur étude, qui a été financée par la Fondation allemande pour la recherche, les chercheurs ont reçu le deuxième prix de 3,500 euros dans la catégorie recherche fondamentale du 2006 Pain Prix ​​de recherche au Congrès allemand sur la douleur à Berlin. L'essai s'est déroulé comme suit: les sujets testés ont reçu des stimuli thermiques sur leurs mains via une soi-disant thermode. Ils étaient autorisés à régler eux-mêmes la température.

Leur tâche était de maintenir constante l'intensité perçue du stimulus. «Chez les sujets sains, seuls des stimuli douloureux entraînaient normalement une accoutumance, c'est-à-dire qu'ils régulaient la température plus haut avec le temps pour garder la même sensation», explique le Dr Kleinböhl.

«En revanche, dans la douleur chronique conditions, telles que mal au dos, vous ne trouvez pas d'accoutumance à de tels stimuli - ici une sensibilisation se produit, c'est-à-dire une augmentation de la sensation de douleur subjective. La question était de savoir si une telle perception altérée de la douleur pouvait résulter d'une apprentissage processus. Pour le savoir, les chercheurs ont étudié des individus sains dans deux conditions. La tâche de maintenir constante l'intensité de la sensation des stimuli thermiques est restée constante.

Le résultat

Dans un groupe, une réponse de sensibilisation a été «améliorée» par une nouvelle réduction ultérieure de la température. Cependant, la réaction d'accoutumance a été «punie» par une augmentation ultérieure de la température.

Dans le second groupe, la situation s'est inversée: ici, l'accoutumance a été renforcée et la sensibilisation a été sanctionnée. Il a été constaté que dans le groupe dans lequel la sensation de douleur était augmentée, les réactions de sensibilisation aux stimuli thermiques se produisaient plus fréquemment, tandis que dans l'autre groupe, des réactions d'habituation étaient plus fréquentes. Dans le groupe avec sensibilisation apprise, il a également été démontré que, à mesure que les intensités de stimulus diminuaient, l'intensité des sensations personnelles restait la même.

Les participants n'étaient pas conscients de cette sensibilité croissante à la douleur au cours de l'expérience.