Maux de tête arrière à gauche Maux de tête arrière à droite | Maux de tête au dos

Mal de tête au dos à gauche

Occipitale unilatérale douleur peut donner une indication de la localisation de la cause.Une division spéciale entre la droite et la gauche n'est pas possible car les structures anatomiques sont symétriques. Dans le cas de l'occipital unilatéral douleur, il faut d'abord savoir ce qui cause la douleur. Différents types de maux de tête surviennent souvent unilatéralement et doivent donc être exclus du point de vue diagnostique.

Ceux-ci comprennent migraine mal de tête, céphalée en grappe et maux de tête de tension. Même une simple tension musculaire peut, quoique inhabituellement, être unilatérale et causée par une mauvaise posture. La céphalée occipitale gauche ou droite suggère ainsi une cause locale qui n'affecte pas l'ensemble front (comme c'est le cas avec méningite, par exemple). Une masse d'espace peut déclencher la douleur. Cela peut être causé, par exemple, par une hémorragie cérébrale ou une cerveau tumeur, bien que cette dernière soit beaucoup moins fréquente.

Maux de tête dans le dos avec nausées

Comme déjà mentionné, les blessures accidentelles sont souvent la cause de maux de tête au dos. En cas de chute, la personne touchée atterrit souvent au sol avec le dos de son front. Bien que le cerveau est bien protégé dans le crâne l'os et le liquide nerveux, il est affecté par un choc violent.

Cela peut conduire à un commotion cérébrale, un léger traumatisme cranio-cérébral. Le patient est généralement étourdi et les fonctions du cerveau peut être restreint de différentes manières. Bien que les symptômes aigus disparaissent après un court laps de temps, des étourdissements et nausée peut survenir en conséquence.

Le corps réagit à la légère blessure au cerveau. Si maux de tête ainsi que nausée se produisent simultanément après un front blessure, une observation médicale est nécessaire. Ceci est souvent réglé par un court séjour à l'hôpital, au cours duquel les fonctions neurologiques sont régulièrement contrôlées.

Le but est de vérifier si une augmentation de la pression intracrânienne se développe. Si la chute n'a pas seulement causé un commotion cérébrale, mais aussi un traumatisme cranio-cérébral, une augmentation de la pression intracrânienne peut survenir en raison d'un saignement, d'une rétention d'eau (œdème) ou d'un piégeage (par exemple en cas de crâne fracture). Les symptômes classiques de cette augmentation de la pression sont nausée ainsi que vomissement. Si la pression augmente trop, le cerveau peut se retrouver piégé dans les structures anatomiques existantes, ce qui met la vie en danger.