Traitement d'une fracture de stress | Fracture de stress

Traitement d'une fracture de stress

Le traitement d'un stress fracture dépend de plusieurs facteurs.Tout d'abord, il est décisif si un fracture est seulement dans ses étapes préliminaires (comme les microfractures) ou déjà manifestes. Dans le cas des étapes préliminaires d'un fracture, il peut suffire dans un premier temps de suspendre la charge permanente. Si l'activité de chargement est arrêtée, l'os affecté a le temps de se régénérer.

Si une fracture est déjà manifeste (prononcée), une thérapie spécifique doit être effectuée. Cette thérapie dépend de l'emplacement de la fracture et de la gravité de la fracture. Dans certains cas, un traitement conservateur avec un plâtre le plâtre est suffisant pour soulager l'os afin qu'il puisse se régénérer.

Dans d'autres cas, des interventions chirurgicales sont nécessaires pour obtenir une cicatrisation osseuse permanente. Selon l'emplacement de la fracture et sa gravité, certaines procédures de clouage ou l'utilisation de plaques et de vis peuvent être envisagées. Dans d'autres cas, le chirurgien peut retirer un morceau d'os sain du crête iliaque et insérez-le sur le site de la fracture.

Une immobilisation pouvant aller jusqu'à quatre semaines devrait suivre. Cela donne à l'os blessé le temps de se régénérer. La charge sur la partie affectée du corps ne doit alors être augmentée que lentement pour éviter une rechute. La physiothérapie peut vous aider ici.

Durée d'une fracture de stress

Le temps jusqu'à un fracture de stress guérit varie considérablement d'une personne à l'autre et dépend de plusieurs facteurs. Tout d'abord, il est décisif si une fracture manifeste est déjà présente ou seulement des étapes préliminaires. Les premiers stades guérissent généralement dans les 6 à 8 semaines avec une immobilisation dans un plâtre plâtre ou attelles et bandages.

Les fractures manifestes nécessitant un plâtre ou une intervention chirurgicale nécessitent également une immobilisation de plusieurs semaines. La physiothérapie peut avoir un effet de soutien et influencer positivement l'évolution de la maladie. Un renoncement complet à la contrainte de déclenchement (par ex. pour le running sports) est absolument nécessaire. Une charge progressivement accrue sur la partie correspondante du corps jusqu'à la pleine charge doit absolument être discutée avec le médecin traitant afin d'éviter l'apparition de rechutes.