Distribution de fréquence | Réglez Risperdal vers le bas

Distribution de fréquence

Globalement, il existe un nombre assez important de patients qui souhaitent arrêter de prendre Risperdal®. Il peut y avoir plusieurs raisons à cela, mais dans la plupart des cas, c'est le niveau élevé d'effets secondaires associés à la prise du neuroleptique atypique. Cependant, il est important de noter que tous les patients ne peuvent pas arrêter de prendre Risperdal® sans revenir à la maladie d'origine (schizophrénie, manie, psychose, etc.). Même si de nombreux patients aimeraient arrêter de prendre Risperdal®, le patient doit également se rappeler qu'il y avait une raison de prendre le médicament et que son arrêt ne peut être fait qu'avec l'aide d'un professionnel psychiatre.

Symptômes au sevrage

Lorsqu'un patient arrête le médicament Risperdal®, divers symptômes peuvent survenir. Afin de minimiser les symptômes de sevrage lors de l'arrêt de Risperdal®, le patient doit élaborer un plan précis avec son psychiatre et permettre au médicament de s'user lentement, c'est-à-dire de le réduire par petites doses sur une longue période de temps. Néanmoins, il est normal que de légers symptômes de sevrage apparaissent lors de la réduction d'une petite dose de Risperdal®.

Ceux-ci peuvent se manifester de différentes manières et il existe différents symptômes selon le patient et la maladie sous-jacente (psychose or schizophrénie, etc.). Certains patients estiment que l'arrêt de Risperdal® entraîne des psychose. Dans ce cas, il est indispensable de consulter le psychiatre traiter le patient et lui parler des problèmes existants.

Cependant, des symptômes tels que l'agitation, insomnie or maux de tête peut continuer à survenir pendant que vous arrêtez de prendre Risperdal®. Il est important que les symptômes soient discutés avec le psychiatre traitant afin qu'il ou elle puisse les traiter et faciliter l'arrêt du traitement par Risperdal®. Le patient doit également être patient et ne pas se précipiter pour arrêter le médicament car cela peut entraîner une augmentation rapide des symptômes mentionnés.

Dans ce cas, la posologie de Risperdal® doit souvent être à nouveau augmentée pour stabiliser le patient et le processus d'arrêt du médicament recommence.Il est important de savoir que la prise du médicament psychotrope conduit à une sorte d'adaptation (adaptation physique) les patients. Cela signifie qu'après un certain temps de prise du médicament, l'effet du médicament s'affaiblit et la dose doit être augmentée de plus en plus pour obtenir le même effet d'origine. Cette adaptation rend également plus difficile l'arrêt de Risperdal®.

Plus un patient prend Risperdal® longtemps, plus il faudra de temps pour l'arrêter. Si, au contraire, un patient ne prend Risperdal® que pendant une courte période, il n'y aura pas de symptômes de sevrage ou de symptômes tels qu'une agitation même lorsque Risperdal® est arrêté. Même si un patient souhaite arrêter Risperdal®, il doit être conscient que cela peut être un processus très long, en fonction de la dose initiale. Par exemple, si une patiente envisage d'avoir un enfant dans un proche avenir, elle devrait discuter de ce souhait avec le psychiatre traitant en temps utile afin que le médicament puisse commencer à être arrêté prématurément.