L'évaporation fait partie de la thermorégulation qui maintient une température corporelle constante chez les animaux à sang chaud. Le processus d'évaporation est également connu sous le nom de processus d'évaporation et est déclenché par une diminution du sympathique système nerveux tonique dans des conditions chaudes. L'augmentation de l'évaporation est une prédisposition également connue sous le nom d'hyperhidrose.
Qu'est-ce que l'évaporation?
L'évaporation maintient la température du corps humain malgré des températures ambiantes élevées. L'évaporation se produit dans le cadre de la thermorégulation. La thermorégulation est le terme utilisé pour décrire tous les processus par lesquels le corps d'un animal à sang chaud maintient une température corporelle constante au niveau qui fournit la température de travail idéale pour les processus corporels tels que sang circulation, malgré des températures ambiantes fluctuantes. Cela nécessite un échange permanent de chaleur avec l'environnement. Cet échange de chaleur a lieu à travers divers mécanismes corporels. En plus de l'évaporation, les mécanismes d'échange de chaleur du corps comprennent la convection, la conduction et le rayonnement. La conduction est l'échange de chaleur par contact direct. La convection est l'échange de chaleur à travers un milieu d'échange tel que l'air. Le rayonnement en médecine est un rayonnement thermique sous forme d'ondes électromagnétiques, et l'évaporation est une perte de chaleur par les processus d'évaporation. Les liquides sont épaissis dans ce processus en éliminant d'eau à travers un vide.
Fonction et tâche
L'évaporation maintient la température du corps humain malgré des températures ambiantes élevées. Ainsi, la perte de chaleur par évaporation refroidit le corps. En cas de surchauffe en raison de températures ambiantes élevées, le centre de thermorégulation du hypothalamus abaisse le ton du sympathique système nerveux. Cet abaissement est la première étape de la thermorégulation et nécessite un contrôle permanent de la température par des thermorécepteurs périphériques et viscéraux. Ce sont les terminaisons nerveuses libres des neurones sensibles situés dans le peau et les muqueuses. Ils mesurent les températures externes et internes et transmettent leurs signaux de manière centrale à travers des convergences neuronales, qui sont additionnées dans le premier neurone et voyagent le long du tractus spinothalamicus. Sur ce chemin, ils atteignent le thalamus et sont commutés sur le deuxième neurone. Le deuxième neurone se termine par ses fibres de projection dans la zone de la hypothalamus. Ainsi, le hypothalamus, en tant que centre de régulation central de la température corporelle, reçoit des entrées d'informations permanentes. Sur la base des données de température, il les compare et, si nécessaire, répond par des processus de régulation pour maintenir la température corporelle constante. La chaleur amène ainsi l'hypothalamus à abaisser le tonus du sympathique système nerveux. Cette baisse de tonalité déclenche des réponses régulatrices. Une réponse à la diminution tonale est la vasodilatation périphérique. Le deuxième mécanisme de réponse est l'augmentation de la sécrétion de sueur. La vasodilatation périphérique correspond à la vasodilatation en périphérie sang bateaux. Cela se traduit par une amélioration sang couler jusqu'aux extrémités. La surface d'échange thermique est ainsi augmentée et des pertes thermiques plus importantes peuvent ainsi avoir lieu par convection. La sécrétion de sueur a lieu par le biais de l'innervé sympathiquement cholinergique glandes sudoripares, également connu sous le nom de glandulae sudoriferae. Ils augmentent leur sécrétion en augmentant le tonus sympathique. L'évaporation de la sueur produit le soi-disant refroidissement par évaporation et le peau est refroidi. Ce processus correspond à l'évaporation.
Maladies et affections
Une évaporation accrue accompagne une variété d'images cliniques. Habituellement, ces tableaux cliniques sont liés à fièvre, qui est abaissée par le corps par évaporation. Cependant, l'évaporation elle-même peut également prendre des proportions pathologiques. Elle n'apparaît alors pas comme un symptôme d'une maladie primaire, mais est elle-même présente comme une maladie primaire. L'une des maladies les plus connues dans ce contexte est l'hyperhidrose. Ce phénomène correspond à une prédisposition génétique à une transpiration prononcée, généralement limitée localement à une certaine zone du corps. En particulier, les bras, les aisselles, les pieds ou les mains sont souvent affectés par l'hyperhidrose. En principe, cependant, l'hyperhidrose peut également affecter tout le corps. Dans la plupart des cas, la cause sous-jacente d'un tel phénomène est un fonctionnement excessif du glandes sudoripares. Ce qui stimule le glandes sudoripares le sur-fonctionnement reste souvent flou.Stress et les problèmes psychologiques peuvent jouer un rôle tout aussi important dans le tableau clinique que hyperthyroïdie. Par dessus tout, stress et les hyperfonctions induites psychologiquement sont un cercle vicieux, car la transpiration fait généralement ressentir encore plus de stress à la personne affectée et a donc un effet négatif sur la psyché. La dyshidrose est également un condition qui est liée à l'évaporation au sens le plus large. Dans ce condition, de petites vésicules remplies de liquide se forment, provoquant des démangeaisons importantes. La dyshidrose accompagne souvent l'hyperhidrose, bien que la science médicale soit encore incertaine sur le lien. Étant donné que divers médicaments affectent également la thermorégulation et l'évaporation, certaines hyperhidrose et la dyshidrose qui en découlent sont liées aux médicaments et ne peuvent donc pas être directement appelées une maladie, mais sont plutôt un effet secondaire. Une modification de l'hypothalamus ou système nerveux sympathique peut également causer des problèmes d'évaporation. De tels changements peuvent être, par exemple, des tumeurs dans ces cerveau Régions. De même, les maladies du système nerveux central sont des causes possibles de modifications de ces cerveau Régions. Par exemple, si le ton du système nerveux sympathique reste en permanence à un niveau bas en raison d'une dérégulation, une transpiration excessive peut survenir malgré du froid les températures. Les conséquences d'un tel phénomène sont multiples et font qu'il est difficile pour le corps de maintenir sa température corporelle. Ainsi, le phénomène peut avoir un impact négatif sur tous les processus corporels liés à la température.
