Quand peut-on être commis en cas de psychose? | Psychose

Quand peut-on être commis en cas de psychose?

Dans le jargon technique, l'admission forcée est appelée hébergement sous le Santé Act, souvent également appelé PsychKG. En Allemagne, une personne ne peut généralement pas être emmenée dans une institution contre son gré ou y être détenue, car cela est considéré comme une privation de liberté. Par conséquent, il doit y avoir des raisons importantes pour l'hébergement d'une personne selon la PsychKG, qui sont énumérées dans le texte juridique: Dans le domaine psychiatrique, le terme «auto-danger» ou «mise en danger d'autrui» est généralement utilisé pour le bien de simplicité.

Les patients présentant un trouble psychotique aigu peuvent, dans certaines circonstances, être en mesure de montrer les raisons mentionnées pour l'admission selon PsychKG. D'une part, il y a un maladie mentale, d'autre part, dans le cadre de la psychose, il peut y avoir un danger pour soi ou pour les autres. Des exemples de ceci seraient les suivants: La personne malade entend des voix lui disant de sauter par la fenêtre.

Il s'agit d'un comportement suicidaire aigu et donc d'une mise en danger de soi. Un autre scénario est que la personne affectée entend des voix qui ordonnent que la personne affectée fasse de graves violences à d'autres personnes. Ce ne sont que des exemples exemplaires pour expliquer dans quelles situations un placement (placement forcé) peut devenir nécessaire et justifié.

Afin d'effectuer un tel placement, le bureau de l'ordre public ou les pompiers doivent être appelés, selon l'état fédéral et l'heure de la journée. De plus, un certificat médical doit être délivré expliquant les raisons de l'hébergement prévu. Celui-ci doit être remis au tribunal local.

Dans les 24 heures, une audience judiciaire doit avoir lieu. Jusque-là, le malade peut être hébergé dans un établissement psychiatrique contre son gré. Dans ce délai - si absolument nécessaire - une médication forcée est également possible, ainsi que l'application de mesures de fixation. Après ces 24 heures, un juge doit décider si la poursuite de l'accommodement du patient est légale ou si les mesures d'adaptation doivent prendre fin.

  • La personne concernée doit être atteinte de troubles mentaux.
  • Il doit y avoir un danger important pour la personne en raison de lui-même ou
  • Il doit y avoir une mise en danger substantielle des intérêts juridiques d'autrui par la personne.