Syndrome d'hyperactivité avec déficit de l'attention, syndrome de Fidgety Phil TDAH, Attention - Déficit - Hyperactivité - Trouble (TDAH), minime cerveau syndrome, trouble du comportement avec trouble de l'attention et de la concentration, Fidgety Phil, ADD, syndrome de déficit de l'attention, ADD. Le syndrome d'hyperactivité avec déficit de l'attention comprend un comportement impulsif et inattentif qui se manifeste sur une plus longue période (environ six mois) dans plusieurs domaines de la vie (jardin d'enfants/ école, à la maison, temps libre). En raison de la capacité variable et parfois inférieure à la moyenne à attirer l'attention, d'autres domaines (allemand et / ou mathématiques) sont souvent touchés par des problèmes à l'école.
Merci beaucoup TDAH les enfants développent un SLR (= faiblesse de l'alphabétisation et de l'orthographe) et / ou dyscalculie. En outre, TDAH les enfants peuvent également être très doués. Même les premiers «soupçons» à ce sujet peuvent être beaucoup plus difficiles à exprimer, car - en raison de la symptômes du TDAH - les symptômes de surdouement peuvent ne pas être interprétés correctement et ne peuvent donc pas être reconnus.
Un traitement médicamenteux doit atténuer les symptômes et permettre à l'enfant de vivre et d'apprendre de manière adéquate. La pharmacothérapie dans le domaine du traitement du TDAH est probablement la forme de thérapie la plus controversée dans ce domaine. Il y a deux opinions opposées à cet égard: Nous sommes d'avis que le TDAH ne devrait jamais être traité exclusivement avec des médicaments, mais devrait toujours s'inscrire dans une thérapie multimodale (= multicouche) et donc individuellement appropriée.
Il ne faut pas voir une panacée dans la pharmacothérapie mais plutôt reconnaître que ce n'est qu'une contribution pour atténuer la symptômes du TDAH à plusieurs niveaux. Bien entendu, le soutien de la famille est particulièrement important. En plus de l'amour, de l'affection et de la sécurité, une éducation cohérente avec des droits et des devoirs, avec le respect des règles contribuera à l'amélioration des symptômes.
Un traitement médicamenteux doit être instauré au plus tôt à partir de 6 ans. Les médicaments sont utilisés pour réguler le déséquilibre des substances messagères dans le cerveau. En plus des médicaments de premier choix, les soi-disant stimulants, des antidépresseurs sont également utilisés.
Ils visent à augmenter la concentration ainsi que l'endurance et l'attention d'un enfant affecté. En renforçant les impulsions et les symptômes qui les accompagnent, l'enfant en tant que tel apparaît plus calme et plus ordonné. Si une décision est prise en faveur d'un traitement médicamenteux pour le TDAH, la dose individuelle et le bon moment pour la prendre doivent d'abord être déterminés avec le médecin traitant l'enfant.
Selon le médicament, l'effet est immédiat et dure différemment. Certains médicaments doivent être pris plusieurs fois par jour, d'autres libèrent progressivement la substance active, de sorte qu'une seule prise quotidienne est suffisante («retarded drogues»). Chaque médicament a ses propres effets secondaires.
Dans le cas des médicaments contre le TDAH, ceux-ci sont souvent perte d'appétit, maux de tête et estomac courbatures, troubles du sommeil, Dépression, etc. On ne dit pas toujours qu'un enfant réagit immédiatement aux médicaments. De plus, il est important de savoir que la pharmacothérapie ne «guérit» pas le TDAH.
Il soulage les symptômes aussi longtemps que le médicament est pris. Cependant, cela ne signifie pas qu'un enfant TDAH sera dépendant d'un traitement médicamenteux pour le reste de sa vie. Plus une thérapie est complexe et adaptée individuellement, plus les symptômes peuvent être améliorés.
Souvent, la pharmacothérapie fournit la base pour que d'autres formes de thérapie deviennent possibles en premier lieu. Grâce à cette thérapie à plusieurs niveaux, les modèles de comportement négatifs peuvent être influencés favorablement et remplacés par d'autres modèles de comportement. L'objectif déclaré est de renforcer le comportement de l'enfant de manière à ce qu'il apprenne à utiliser lui-même ces comportements positifs (autogestion), de sorte qu'à un moment donné, en accord avec le médecin traitant, le médicament puisse être réduit voire complètement arrêté. .
Des recherches et des études récentes prouvent que les médicaments n'entraînent généralement pas de dépendance en cas de TDAH clairement prouvé et de posologie individuelle appropriée. Malheureusement, il y a un manque d'études à long terme, en particulier avec des médicaments plus récents, qui peuvent confirmer ou infirmer un tel résultat à long terme. À ce stade, nous tenons à souligner que les risques qui peuvent survenir avec la pharmacothérapie varient d'un cas à l'autre et aucune déclaration générale ne peut être faite ici.
- Ceux qui rejettent un traitement médicamenteux dans tous les cas et
- Ceux qui les approuvent. Comme déjà mentionné dans la section des causes sur la page TDAH, les dernières recherches suggèrent que la cause principale est un changement dans la façon dont le cerveau les fonctions. Ce fonctionnement altéré décrit un trouble complexe de la soi-disant catécholamine équilibre, qui doit être imaginé comme suit.
En présence d'un TDAH avéré et donc d'un diagnostic correct, il existe un déséquilibre des substances messagères mentionnées ci-dessus. Ce déséquilibre perturbe la transmission d'informations entre les cellules nerveuses individuelles dans la zone des zones cérébrales individuelles. Si cela équilibre est perturbé, les stimuli ne peuvent pas être transmis de la manière habituelle.
Étant donné que les substances messagères ont une influence considérable sur le comportement humain à travers leurs propriétés, un déséquilibre des substances messagères signifie un comportement qui s'écarte de la norme. Or, certaines substances messagères peuvent être présentes en quantités suffisantes, tandis que d'autres peuvent être insuffisamment présentes. En fin de compte, cela se traduit par des symptômes du TDAH.
Maintenant, il devient clair pourquoi tous les symptômes ne doivent pas être présents et pourquoi une liste de critères ne peut jamais être complète. - En ce qui concerne le TDAH, trois catécholamines (substances messagères) deviennent importantes: noradrénaline, la sérotonine, dopamine. - Tous les catécholamines mentionnés ont une fonction spécifique: commande de noradrénaline, la sérotonine impulsivité, dopamine conduire.
- Normalement, ces substances sont en équilibre
- D'autres effets résultent de l'interaction. L'interaction de la noradrénaline et la sérotonine, par exemple, est responsable du développement d'états d'anxiété, tandis que la sérotonine et dopamine sont responsables de l'appétit, mais aussi de l'agression et de la luxure. La noradrénaline et la dopamine régulent la motivation; tous les trois ensemble ont des effets sur l'humeur, l'émotivité et les capacités cognitives.
En raison du déséquilibre variable des substances messagères dans les cas individuels, différents groupes de médicaments sont nécessaires et ciblés. En principe, une distinction est faite principalement entre les antidépresseurs, qui à leur tour sont divisés en
- Stimulants, qui comprennent également des médicaments contenant le principal ingrédient actif méthylphénidate (par exemple Ritalin®). - Antidépresseurs
- NARI (inhibiteurs sélectifs de la reprise de la noradrénaline)
- SNRI (sérotonine - noradrénaline - inhibiteur de reprise)
- MAO - Inhibiteurs
- ISRS (inhibiteur sélectif du recaptage de la sérotonine)
- RIMA (inhibiteur réversible de la monoaminooxydase
L'ingrédient actif méthylphénidate est commercialisé sous le nom commercial Ritalin®.
L'application principale de ce médicament est le traitement du syndrome d'hyperactivité avec déficit de l'attention. Ritalin® appartient au groupe des stimulants. On ne sait pas pourquoi il a exactement l'effet inverse chez les patients souffrant de TDAH.
L'ingrédient actif a été développé dès 1944. À cette époque, il était utilisé comme substance améliorant les performances. En plus de son effet stimulant, le médicament a également un effet augmentant la concentration.
De plus, la fatigue est réduite. Les rides de performance et l'épuisement sont atténués par la prise du médicament, mais aussi l'appétit. Après avoir pris méthylphénidate il y a une accumulation dans le sang plasma.
La concentration la plus élevée est mesurée après environ 2 heures. Aujourd'hui, le méthylphénidate est utilisé chez les enfants atteints de TDAH à partir de l'âge de 6 ans. Cependant, en raison du nombre élevé d'ordonnances, des lignes directrices ont été élaborées qui indiquent clairement que le méthylphénidate ne peut être prescrit qu'après un certain temps. diagnostic de TDAH a été fait.
De plus, le Ritalin® ne doit pas être utilisé comme seul traitement du TDAH, mais doit être utilisé dans le cadre d'un concept de traitement multimodal qui comprend également psychothérapie. Après un diagnostic complet, le Ritalin® est ensuite utilisé chez l'enfant à une dose comprise entre 2.5 et 5 mg. La dose peut ensuite être ajustée, augmentée et réduite en fonction du succès.
Les patients qui prennent régulièrement du Ritalin® semblent plus équilibrés. Cependant, le Ritalin® n'a aucun effet calmant. L'utilisation de méthylphénidate peut également entraîner des effets secondaires indésirables.
Un très fréquent perte d'appétit devrait être mentionné ici. Les patients ont moins faim sous Ritalin®, parfois cela peut également conduire à une réduction de poids indésirable. En outre, on signale également des difficultés accrues pour s'endormir et rester endormi.
Ceux-ci sont plus importants lorsque le médicament est administré et peuvent ensuite être réduits si le Ritalin® est pris pendant une période plus longue. Parfois, le Ritalin® entraîne des troubles gastro-intestinaux. Les patients se plaignent de nausée, estomac pression et parfois vomissement.
Dans de rares cas, le Ritalin® peut également avoir une influence négative sur la psyché. Par exemple, une augmentation des tentatives de suicide sous Ritalin® a été observée. Parfois, l'utilisation de méthylphénidate peut également conduire à tachycardie et hypertension.
Étant donné que le Ritalin® peut également entraîner de la fatigue, des précautions particulières doivent être prises lors de la conduite et du travail avec des machines. etMedikinet® est, comme le Ritalin®, également une substance avec l'ingrédient actif méthylphénidate. Il a son domaine d'application dans le traitement du syndrome d'hyperactivité avec déficit de l'attention.
Les enfants à partir de 6 ans peuvent être traités avec le médicament si un diagnostic de TDAH a été faite et d'autres formes de traitement n'ont pas aidé. Le traitement doit être administré sur une période plus longue. Si les symptômes se sont améliorés pendant plusieurs mois, une tentative de réduction du médicament peut être faite dans certaines circonstances et après un examen attentif.
Medikinet® ne doit pas être pris si la personne concernée est allergique au principe actif méthylphénidate, si elle souffre de hypertension or Cœur problèmes, s'il y a foie or un rein dommages, et si graves Dépression a déjà eu lieu. Si une tentative de suicide a déjà été faite, Medikinet® ne doit pas être utilisé car sa prise peut augmenter le risque de suicide. Medikinet® doit initialement être pris à faibles doses et, si nécessaire, la dose doit être augmentée en fonction du succès du traitement.
La dose quotidienne maximale est de 60 mg par jour. L'ingrédient actif atomoxétine est commercialisé sous le nom commercial Strattera®. Il est principalement utilisé pour le traitement du TDAH et est l'une des substances les plus récentes pour le traitement de cette maladie.
Strattera® est disponible en gélules et en solution. L'atomoxétine a été approuvée pour le traitement du TDAH chez les enfants et les adolescents en 2005, et le médicament a été initialement développé pour le traitement du Dépression. En termes de structure, la substance active est très similaire au groupe des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine qui sont utilisés avec succès dans le traitement de la dépression.
Cependant, l'atomoxétine inhibe moins la sérotonine que la noradrénaline, ce qui signifie que cette substance messagère est plus disponible dans le fente synaptique des cellule nerveuse. L'effet exact de Strattera® dans le traitement du TDAH n'est pas encore entièrement élucidé. Comme avec les autres médicaments utilisés dans le traitement du TDAH, Strattera® est soupçonné de provoquer des sauts psychologiques possibles lorsqu'il est pris.
Par exemple, il a été rapporté qu'il y a eu une augmentation des tentatives de suicide pendant le traitement. Possible foie des dommages en cas de surdosage et de mauvaise utilisation ont également été signalés. Il existe deux opinions extrêmes sur l'utilisation des médicaments dans le cas du TDAH: D'une manière générale, on peut dire que cela dépend toujours du cas individuel.
Cependant, il est important qu'il n'y ait aucun doute sur le diagnostic, car comme déjà mentionné, tous les enfants ayant des problèmes de comportement ne sont pas des enfants atteints de TDAH. Il existe de nombreuses études qui examinent les effets et les effets secondaires, par exemple, du méthylphénidate (ingrédient actif du Ritalin®). Tant que le diagnostic et l'indication ont été correctement posés, aucune étude n'a pu prouver une dépendance à la substance active.
Le point de départ - si le diagnostic est clair - est le fait que le déséquilibre des substances messagères existe réellement et que les enfants reçoivent des médicaments pour restaurer le équilibre qu'ils manquent. On peut dire ce qui suit:
- Denial
- Estime que c'est le seul moyen efficace de traiter la fonction cérébrale altérée décrite ci-dessus. - Thérapie médicamenteuse uniquement dans les cas évidents.
- Traitement médicamenteux non destiné aux enfants d'âge préscolaire (<6 ans)
- Des effets secondaires peuvent survenir - selon le médicament
- La dose est individuellement différente et doit être «testée» d'une manière ou d'une autre. Les recommandations posologiques basées sur le poids corporel sont à la disposition du médecin traitant. La pharmacothérapie est également possible pour les adultes, bien qu'il soit beaucoup plus difficile de choisir le bon médicament.
Le principal problème avec les adultes est que leur métabolisme fonctionne plus rapidement que celui des enfants. Surtout à cet égard l'influence de hormones, qui n'est pas ou peu présente chez les enfants, joue un rôle important. Comme cela varie d'un individu à l'autre, la méthode de calcul de la posologie en fonction du poids corporel est également inadéquate.
Les stimulants sont également généralement utilisés chez les adultes. Cependant, il peut également arriver que des antidépresseurs dits tricycliques soient utilisés comme médicament ou qu'une combinaison des deux soit prescrite. Dans ce cas, le médecin traitant vous aidera.
Les rapports d'expérience d'adultes montrent également que l'effet des stimulants ne se produit qu'après plusieurs mois - ici aussi, il y a une différence décisive par rapport aux enfants. De plus, il n'y a pas autant de rapports d'expérience de pharmacothérapie chez les adultes que chez les enfants. Les études montrent également des résultats différents et nullement uniformes.
À l'instar des enfants, le succès de la pharmacothérapie est probablement principalement dû aux adultes dont le TDAH est clairement établi et qui ne présentent aucun autre trouble de la personnalité (borderline, dépression, syndrôme de Tourette). Les formes de thérapie mentionnées en plus ne sont pas superflues même avec un traitement médicamenteux. Le médicament doit toujours être utilisé dans le cadre d'une stratégie thérapeutique globale - en association avec une thérapie à domicile, une thérapie éducative psychothérapeutique et curative et / ou une thérapie nutritionnelle. - Informations générales sur le TDAH et la famille
- Informations sur la thérapie du TDAH par la psychothérapie
- Informations sur la thérapie du TDAH par l'éducation curative
- Informations sur la nutrition spécifique dans le TDAH
- Informations sur l'ADHS et l'homéopathie
