Marche pas à pas: fonction, tâches, rôle et maladies

La démarche pas à pas est une modification typique de la démarche résultant de la paralysie des élévateurs de pied. Ce processus de mouvement compensatoire peut être causé par de nombreuses maladies et blessures.

Qu'est-ce que la démarche stepper?

La démarche pas à pas est un changement de démarche typique résultant de la paralysie des vérins de pied. La démarche pas à pas se produit lorsque les élévateurs de pied (extenseurs dorsaux) échouent en raison d'une maladie ou de lésions neurologiques. Il se produit une altération de la démarche caractérisée par un mécanisme de compensation pour compenser le manque de fonction des muscles paralysés. Lorsque les repose-pieds ne sont plus fournis, le pied ne peut plus être soulevé lors de la marche, il pend ensuite mollement et les orteils traînent sur le sol dans la balançoire jambe phase. Pour éviter ce processus, les personnes touchées lèvent tellement leurs jambes que les orteils flotter dans l'air. Le soulèvement accru se produit principalement par une flexion accrue de la hanche. Le deuxième aspect qui caractérise ce changement de démarche peut être observé lorsque les pieds sont posés au sol et peut également être entendu si la chaussure est appropriée. La phase d'appui ne peut pas être initiée normalement avec la frappe du talon. Au contraire, le pied éclabousse le sol avec la zone avant, parfois avec toute la plante du pied. En règle générale, le terme démarche pas à pas est utilisé uniquement lorsque les deux jambes sont touchées. Cependant, un échec unilatéral déclenche unilatéralement les mêmes changements.

Fonction et tâche

La marche pas à pas est un mécanisme de protection conçu pour réduire le risque de chute lors de la marche, notamment lorsque les déficits moteurs s'accompagnent de troubles sensoriels. Dans certains troubles qui provoquent une paralysie flasque des vérins de pied, la sensibilité de surface et de profondeur peut également être affectée. Dans les deux cas, aucune ou moins d'informations sur les conditions du pied ne sont envoyées des récepteurs à la centrale système nerveux. Les personnes atteintes ne sentent pas le pied glisser sur le sol et elles ne reçoivent pas d'informations sur la position du pied dans le les articulations et dans l'espace. Surtout dans les premiers stades, lorsque d'autres sens, notamment le sens de la vue, n'ont pas encore repris l'orientation compensatoire, le risque de chute est très élevé en raison des déficits sensoriels et moteurs. Surélever les jambes réduit le risque d'accrochage du pied en marchant et diminue le risque de chute. La modification de la démarche a également pour but de garantir que la séquence de mouvements peut être effectuée aussi facilement et rapidement que possible dans les circonstances. Si un pied est traîné sur le sol avec les orteils à chaque swing jambe phase, cela gêne considérablement le débit et le rythme de la démarche, et l'effort augmente. Néanmoins, le rythme de marche normal n'est généralement plus atteint, en raison des processus moteurs modifiés et parce que les mouvements sont exécutés avec beaucoup plus de délibération. L'automatisme de la marche est perturbé. Un autre aspect qui joue également un rôle dans la levée stressée du jambe est la sensation désagréable qui survient lorsque la chaussure est traînée sur le sol et endommagée. Les possibilités de compensation grâce à la marche pas à pas atteignent leurs limites lors de la montée ou de la montée des escaliers. La hauteur qui doit être surmontée dans ces conditions nécessite déjà une flexion accrue de la hanche, qui est déjà presque complètement épuisée en terrain escarpé, même avec le fonctionnement normal des élévateurs à pied.

Maladies et plaintes

La défaillance des crics au pied peut avoir plusieurs causes. Lésions de pression au nerf fibulaire commun, qui est une branche du nerf sciatique et fournit les extenseurs dorsaux, se produit souvent lorsqu'un plâtre est appliqué trop étroitement à la partie inférieure de la jambe. La déficience est souvent remarquée trop tard, de sorte que le nerf est irréversiblement endommagé et que la déficience motrice ne peut pas être inversée. En raison d'une force externe ou d'erreurs lors de la chirurgie de la jambe, des lésions des structures nerveuses et une paralysie temporaire ou permanente des muscles fournis peuvent également survenir. Les conséquences des dommages décrits sont purement motrices et n'affectent généralement qu'un seul côté, entraînant une démarche d'un demi-pas. Polyneuropathie est une maladie causée par diabète, augmenté alcool la consommation, l’abus de drogues ou d’autres facteurs. Il attaque à la fois les branches motrices et sensibles de nerfs et détruit la couche isolante protectrice.En conséquence, les impulsions vers les muscles et les informations des récepteurs vers le moelle épinière sont partiellement ou complètement perdus. La maladie affecte souvent le pied et son environnement et provoque une instabilité croissante de la démarche en raison de la perte progressive de muscles du pied et la sensibilité, qui peut être compensée pendant un certain temps par une démarche modérée. Polio (poliomyélite), qui en Europe n'est généralement observée que chez les personnes âgées, peut également affecter les prises de pied. C'est une maladie inflammatoire causée par le poliovirus. Cela peut avoir des conséquences pour la centrale système nerveux, mais aussi pour le 2ème neurone moteur (la conduction nerveuse rapide qui transporte les impulsions de mouvement du moelle épinière aux muscles). L'échec de certaines branches conduit à une paralysie bilatérale du muscles du pied et donc aussi des élévateurs de pied. Maladies musculaires rares, telles que les atrophies musculaires neuronales génétiques ou dystrophie myotonique, affectent également les élévateurs de pied et généralement conduire insidieusement à l'atrophie musculaire, qui affecte le schéma de marche. C'est dans ces maladies que se produit une démarche en deux temps.