Thérapie de l'hystérie

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D'une certaine manière, la thérapie de hystérie commence par le premier contact. Habituellement, les troubles de conversion ne sont découverts qu'après des mois et la consultation de tous les spécialistes possibles. La raison en est souvent que la suspicion que la souffrance du patient n'est «que psychologique» fait que la personne qui demande conseil ne se sent ni comprise ni prise au sérieux.

Pour cette raison, il est important d'aborder le patient avec prudence sur cette possibilité et de choisir les bons mots pour cela. Le patient ne doit pas se sentir «responsable de la maladie». De plus, le antécédents médicaux des hystérie devrait non seulement poser des questions sur la nature des symptômes physiques, mais également sur d'éventuels problèmes actuels ou, par exemple, sur des antécédents psychiatriques.

En cas de suspicion justifiée de troubles de conversion, des spécialistes tels que des psychiatres doivent être impliqués dans le processus de diagnostic et de thérapie en temps utile. Dans le meilleur des cas, rien n'est caché au patient. Le choix des mots est particulièrement important, tout comme une relation de confiance entre le médecin et le patient.

De nombreux patients qui n'ont pas été aidés depuis longtemps sont en fait soulagés lorsqu'ils reçoivent enfin un diagnostic. La thérapie consiste principalement en psychothérapie, c.-à-d. conversation thérapeutique. Thérapie comportementale, qui tente de former des comportements positifs, est également utilisé. Les médicaments, tels que les antidépresseurs, ne devraient, le cas échéant, être prescrits que temporairement et seulement si le patient est déprimé.