Diagnostics | Hyperventilation (psychogène)

Diagnostics

Ici, les signes cliniques jouent un rôle déterminant. De plus sang une analyse de gaz est effectuée pour soutenir le diagnostic présumé d'hyperventilation. Cela devrait entraîner une baisse des valeurs de bicarbonate et de CO2, généralement avec une augmentation des valeurs de pH et d'O2.

Fondamentalement, le diagnostic explicite de la forme d'hyperventilation psychogène est un diagnostic d'exclusion. Par conséquent, des problèmes avec le Cœur (troubles du rythme cardiaque ou troubles cardiovasculaires) et les poumons (asthme) doivent être exclus. Les résultats d'auscultation des poumons devraient généralement être normaux en cas d'hyperventilation psychogène.

.

La première priorité est toujours d'essayer de calmer le patient. Par conscient inhalation et l'expiration, il est souvent possible de maîtriser l'hyperventilation en forme de crise, de sorte que la pCO2 revienne rapidement à la normale et que les symptômes disparaissent rapidement. L'hyperventilation psychogène peut être bien maîtrisée grâce à ce que l'on appelle la «réinhalation de poche».

Ici, le patient doit tenir un sac en plastique sur son bouche et essayez de respirer lentement et calmement. De cette manière, la teneur en CO2 expirée est immédiatement inhalée et au fil du temps, la diminution initiale de pCO2 est neutralisée, ce qui compense les alcalose. Il est important de noter que la réinhalation de poches n'est utilisée que lorsqu'il est certain qu'une hyperventilation psychogène est présente.

Si ce n'était pas le cas et que le patient respirait trop en raison d'un déficit sévère en O2, cette mesure ne ferait qu'aggraver la situation. Les patients qui souffrent d'une forme psychogène connue d'hyperventilation sont invités à s'entraîner. De cette façon, ils apprennent à mieux gérer la situation et à ne pas paniquer, mais à utiliser la réinhalation de sacs, par exemple.

De plus, il est souvent utile d'utiliser consciemment le diaphragmatique Respiration et de placer les mains sur l'abdomen afin de suivre activement le mouvement respiratoire. De plus, il est judicieux d'effectuer régulièrement des exercices de relaxation et entraînement autogène pour contrer les causes. Plus un patient se sent confiant face à la situation d'hyperventilation psychogène, moins les symptômes seront sévères et mieux l'attaque pourra être contrôlée.

Si les mesures thérapeutiques mentionnées ci-dessus n'aident pas, un traitement psychosomatique doit être envisagé. Si un patient développe une tétanie d'hyperventilation, diazépam, un relaxant musculaire, doit être administré en plus de la mesure de réinhalation du sac.