Diagnostic | Douleur en position assise

Diagnostic

En fonction de la localisation et d'une anamnèse détaillée (interrogatoire) de la personne affectée, le spécialiste peut souvent faire un premier diagnostic provisoire concernant la cause de la maladie. douleur en position assise. Afin de pouvoir le confirmer ou le rejeter, différents examens sont proposés selon les cas. Par exemple, si un infection urinaire est suspectée, un «U-Stix» peut être réalisé, dans lequel une bande de papier spéciale est plongée dans l'urine du patient et peut confirmer ou exclure une infection de manière relativement précise.

Dans le cas d'une infection, une culture d'urine peut alors être préparée pour identifier le pathogène causal et permettre ainsi un traitement antibiotique ciblé. Si la cause est plus susceptible d'être suspectée en orthopédie / chirurgie accidentelle, le diagnostic repose généralement sur l'imagerie (Radiographie, IRM) en plus du patient antécédents médicaux ainsi que examen physique. Cela peut non seulement confirmer ou infirmer le diagnostic suspecté, mais peut également servir de préparation à une intervention chirurgicale éventuellement nécessaire. Les causes gynécologiques (p. Ex. Maladie inflammatoire pelvienne) ou urologiques (p. Ex. Orchite), en revanche, sont généralement diagnostiquées au moyen d'un examen par palpation et ultrason.

Traitement

Les options de traitement sont évidemment très différentes selon la cause du douleur en position assise. Fondamentalement, une distinction peut être faite entre la thérapie conservatrice (principalement médicinale) et chirurgicale. Si les plaintes sont basées sur un processus inflammatoire (par ex.

infection urinaire ou prostatite chronique), un traitement conservateur est généralement instauré avec des médicaments. douleur et un composant anti-inflammatoire (par ex. l'ibuprofène, le diclofénac) et, si nécessaire, un composant dirigé contre le pathogène respectif (par ex. antibiotiques). Ce dernier ne doit bien entendu être pris qu'après consultation médicale.

Le traitement conservateur est également la méthode de choix en cas de sollicitation incorrecte ou excessive (ex. Coccygodynie): Ici, surtout la médecine du travail (ex. Chaises de bureau ergonomiques) ou orthopédique (ex.

inserts pour compenser les malpositions du genou) ainsi que physiothérapeutiques (par exemple, compensation du raccourcissement du cuisse muscles) peuvent avoir un effet. Certaines autres causes (par exemple hernie inguinale ou hernie discale dans la colonne lombaire) peuvent nécessiter un traitement chirurgical. C'est particulièrement le cas lorsque des complications dangereuses sont imminentes, telles que la perte de continence urinaire et fécale ou la paralysie du jambe dans l'exemple d'une hernie discale.